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C’est la rentrée, et si vous vous projetiez dans le futur différemment ?

Las d’une ambiance au travail plombée par la guerre des égos, mal à l’aise dans le tissu professionnel qu’est devenu le votre, stressés et nauséeux quand arrive le lundi matin…

Envisagez votre avenir sous un autre angle et redéfinissiez les contours d’une activité qui vous plaise !!

Réenchantez votre vie, retrouvez le plaisir de vous levez, les palpitations de la créativité, la satisfaction du travail accompli et trouvez les clés pour y parvenir !!

Vous détenez toutes les ressources . Vous êtes uniques, soyez-en convaincus. Vos talents inconnus ne demandent qu’à être explorés et utilisés.

Même si le contexte économique est compliqué, tendu, les discours pessimistes, rien n’est jamais écrit à l’avance et tout peut advenir. Votre disposition d’esprit sera un levier comme elle pourra être un frein.

Qu’il s’agisse de larguer les amarres et construire d’un bout à l’autre un projet qui vous ressemble ou qu’il s’agisse simplement d’ obtenir une meilleure qualité de vie en réorganisant votre activité ou en changeant d’affectation, des opportunités s’offrent à vous.

De nombreux professionnels (entreprises ou associations) sont là pour vous y aider avec des méthodes d’accompagnement innovantes et des mises en situation. Ils vous permettront de tenir le cap et de surmonter les difficultés. Ils vous aideront à identifier vos aspirations, à cibler les domaines d’activités qui vous correspondent le mieux. Ils vous permettront de jeter un pont solide vers le futur.

Mais surtout, donnez-vous le temps de la réflexion, pas de précipitation et n’hésitez pas à prendre contact avec moi pour en discuter.

Entre activité à distance et protocole sanitaire, quelle place pour le travail ?

Le travail, c’est la santé. Le travail, c’est se confronter aux autres et au monde. Le travail, c’est se construire dans la différence, dans la coopération et dans l’opposition.

Le travail convoque le rapport à autrui, à l’altérité. Travailler, ce n’est pas seulement mobiliser sa pensée, mettre en oeuvre ses compétences, convoquer ses savoirs procéduraux pour exécuter une tache ; travailler, c’est mobiliser son corps en situation, aiguiser ses perceptions dans son rapport aux autres pour construire des relations efficaces de coopération en vu d’une oeuvre commune.

La crise sanitaire a mis un coup d’arrêt aux modalités d’organisation du travail que nous connaissions, elle a totalement rebattu les cartes. Le travail a consisté pour certains à nourrir au fil des semaines des relations exclusivement désincarnées via les outils numériques et à tenter d’apprivoiser de nouvelles technologies jusqu’alors inconnu. Il a fallu innover, inventer de nouvelles façons de vivre et de travailler ensemble ; il a fallu composer une nouvelle forme de collectif, créer de nouvelles normes et nous sommes dans l’ensemble parvenus à remplir nos missions.

La rentrée de septembre a sonné le retour dans les entreprises, ponctuellement ou plus régulièrement. Il nous faut maintenant nous plier aux nouvelles règles sanitaires, nous parler masqués, entretenir la bonne distance en toute occasion pour faire barrage à la maladie, nous protéger et protéger nos semblables.

Nous nous sommes retrouvés, les uns, les autres et pourtant le plaisir et la motivation au travail ne sont pas toujours au rendez-vous. Notre belle complicité s’est étiolée tandis que nous peinons à apercevoir les expressions de nos cher(e)s collègues derrière leurs masques aux couleurs chamarrées. La franche poignée de main ou la bise matinale ont cédé la place à un discret signe de tête ou de main et le cœur n’y est pas tout à fait.

Alors, pour que le travail redevienne inspirant et savoureux, pour qu’il nous permette la rencontre avec ce que nous sommes et ce que nous pouvons devenir, il nous faudra reconstruire de la convivialité, de la complicité au travers des masques et malgré les distances, il nous faudra inventer d’autres gestes pour manifester nos affects et notre plaisir à construire une oeuvre commune.

Retrouver le temps et le chemin vers soi.

La période que nous avons traversée lors du confinement et de la mise en oeuvre massive du télétravail a fait rupture ; elle a invité chacun à interroger son rapport au temps, à entrer en résonance avec son environnement et ses envies profondes. Elle nous a contraint à l’écoute de nos murmures intérieurs.

L’enquête sur les nouvelles modalités d’organisation du travail à distance menée en juin dernier et les entretiens qui ont suivi ont révélé chez certains le plaisir retrouvé d’avoir enfin le temps, la disponibilité pour un questionnement existentiel.

Le confinement et la décélération du monde, le ralentissement de l’économie et de nos rythmes quotidiens, la mise en sourdine de nos achats compulsifs ont fait voler en éclats nos routines et ouvert une brèche sur les transformations que nous pouvons opérer dans notre vie pour retrouver le chemin vers soi et plus de sens dans les existences que nous menons.

Et vous, où en êtes-vous avec le télétravail ?

Parce que l’expérience qu’il nous a été donné de vivre ces trois derniers mois est une expérience inédite, 

Parce que c’est l’ensemble des pans d’activités de nos entreprises  qui s’en est trouvé affecté, 

Parce que le télétravail s’est répandu comme une traînée de poudre et sa pérennisation constitue un nouvel enjeu , 

Parce que les limites managériales, techniques et juridiques ont été brutalement repoussées,

Parce qu’il convient aujourd’hui de réfléchir à de nouvelles règles, de nouvelles normes et d’autres formes d’accompagnement de l’homme au travail, en présentiel ou à distance,

Je réalise une petite enquête sur vos perceptions, vos ressentis sur les conditions d’exercice à distance de votre activité professionnelle et je remercie ceux qui accepteront de se prêter au jeu.

Vous trouverez ci dessous l’URL de connexion :

https://forms.gle/qrH6w4tq5jUwraEz9

Les Résultats en direct

https://docs.google.com/forms/d/1kB14DyocTymYIkMA0UlYQwJZH5qhQMAJNdDu3LdZM9A/viewanalytics

Qu’êtes- vous prêts à renégocier pour vivre mieux ?

Le COVID19 est un risque sanitaire qui est venu percuter de plein fouet le monde de l’entreprise dans ses fondamentaux, économie, performance, organisation. Il a bouleversé les interactions entre les individus, il est venu réinterroger les liens de coopération formelle et informelle, chatouiller les collectifs de travail qui ont dû trouver les moyens de se recomposer et d’œuvrer pour le futur. Et vous, de votre côté, qu’êtes-vous disposé à concéder pour restaurer l’humanisme social ? pour construire de nouvelles normes, élaborer de nouvelles façons d »être et de travailler ensemble » ? Comment vous situez-vous sur ce nouveau territoire ?

Vous avez sans doute découvert les joies et les aléas du télétravail, un nouveau rapport au temps, des dimensions inexplorées de vous-mêmes, votre interaction avec Mère Nature ; vous avez apprivoisé les règles de la distanciations sociale, muselé vos velléités de rébellion face à l’amputation de vos libertés, vous avez aiguisé vos sens et vos oreilles pour vous situer dans la turbulence du moment. Et maintenant ? Qu’êtes-vous prêts à renégocier dans votre vie pour vivre mieux, vivre aligné, vivre connecté à vos murmures intérieurs ?

Retrouver des énergies lumineuses

Pour nous mettre en résonance avec ce que l’univers nous propose et réussir notre pont vers le futur, ce webinaire d’Olivier CLERC Après le confinement (7 mai 2020).

Quelle sera notre première trace pour ce nouveau départ ? Quelle nouvelle impulsion allons-nous donner à notre vie ? Comment transformer la relation au plus grand que moi ?

https://www.youtube.com/watch?v=jMB2GuempvI

Habiter sa part de lumière

« Seul celui qui a osé voir l’enfer en lui y découvrira le ciel enfoui. C’est le travail sur l’ombre, la traversée de la nuit qui permettent la montée de l’aube » écrit Christiane SINGER dans Où cours-tu, sais-tu que le ciel est en toi ? C’est sous le signe de cette ode à la vie et au renouveau que je vous invite à ouvrir cette nouvelle page.

Le confinement nous a stoppé dans notre course folle, dans notre quête éperdue de plaisirs futiles, fugaces, dans notre rapport dysfonctionnel au temps et à la nature. Il nous a offert une merveilleuse occasion de revisiter nos orientations profondes et les fondements de notre vie. Oser regarder sa vie sans se juger pour créer une disponibilité au changement, c’est ce à quoi je vous invite au travers de cet exercice sur la ligne de vie.

Prenez le temps de recueillement, réfléchissez au déroulement de votre vie et pensez aux événements majeurs qui l’ont nourrie ou agitée

  • Procurez vous une très grande feuille de papier ainsi que de feutres, marqueurs, stylos
  • Tracez votre ligne de vie en prenant soin de la faire assez longue pour contenir tous les événements importants : naissances, décès, rencontres, événements professionnels, acquisition, création d’entreprise, accident physique ou matériel, relations, chocs émotionnels etc.
  • Reportez sur votre ligne de vie tous ces événements en y associant de la couleur en fonction de votre humeur et de vos ressentis en vous remémorant les situations, vous pourrez y mettre aussi des photos, des dessins, enfin tout ce qui fait sens pour vous

Puis une fois ce travail achevé, prenez de la distance, prenez grand soin d’observer votre ligne de vie.

  • Que vous évoque-t-elle ? Quelle est sa forme ? sa longueur ? ses couleurs dominantes ?
  • Qu’est-ce qui apparaît ? Qu’est-ce qui n’apparaît pas et est passé sous silence ?
  • Quels sont les changements de trajectoires qui se sont amorcés au fil des ans ? Quelle place ont pris vos blessures ? comment ont-elles orienté votre vie ?
  • Etes-vous aujourd’hui satisfait ? cette ligne de vie vous correspond-elle ?

Prendre conscience de ses blessures, s’accepter dans ses manques, ses insuffisances et ses erreurs, c’est s’engager sur la voie d’un changement durable.

Ce qui nous rend véritablement heureux

Cette période de confinement est propice au retour sur soi, à la réflexion sur ce qui nous rend véritablement heureux, à ce qui nous fait du bien. Inscrits dans une toute autre temporalité et soumis au lâcher-prise, nous sommes plus ouverts aux révélations sur nous-mêmes et sur le futur que nous pourrions construire.

Se préparer à l’après, c’est identifier nos vrais désirs, ceux dont découle une abondance de joie, c’est découvrir nos vraies richesses pour dessiner les contours d’une nouvelle vie. Que vais-je abandonner ? Que vais-je poursuivre ? Que vais-je modifier ? Cette crise sanitaire nous offre l’opportunité de construire notre avenir autrement en nous réalignant sur ce qui vibre en nous.

Pour vous accompagner dans votre démarche, je vous invite à dresser sur une période de 15 jours un calendrier de vos activités en y associant pour chacune d’elles l’humeur (bonheur (B), joie (J), embarras (E), colère (C), agacement (A)..) dans laquelle elles vous plongent mais également un score entre 0 et 10 suivant l’intensité ressentie. Vous pouvez utiliser des abréviations ou des émoticônes si vous travaillez sur un fichier Excel.

HeuresLundiMardiMercrediJeudi Vendredi SamediDimanche
8 h-9 h
9 -10 h
10 -11h
11 -12 h
12-13 h
13-14 h
14-15h
15-16h
16-17h
17-18 h
18-19h
19-20h
20-21h
21-22h
Calendrier des activités

Savoir nous interroger en profondeur pour entrevoir un avenir plus radieux

Je souhaite aujourd’hui mettre à l’honneur Olivier CLERC et son blog, rendre hommage à son immense talent pour nous apporter ses éclairages précieux sur ce que nous traversons. Olivier CLERC est l’auteur de Peut-on tout pardonner, un ouvrage qui m’a ouvert d’autres perspectives et appris le sens du pardon.

Sur son blog, il partage sous format mp3, l’enregistrement des 3 premiers chapitres du livre de Charles Eisenstein, Notre coeur sait qu’un monde plus beau est possible, livre à paraître en juin prochain chez Jouvence.

Bonne écoute.

http://blog.olivierclerc.com/notre-coeur-sait-quun-monde.html

Se préserver des relations toxiques

Le confinement et la limitation des interactions sociales accroissent la vulnérabilité aux relations toxiques. Pour préserver son équilibre, pour prendre soin de son intégrité psychologique, il convient d’user aussi souvent que possible de techniques pour désamorcer les toxines verbales, détourner les flèches décochées.

Une relation toxique, qu’est-ce que c’est ? Pour ceux qui les connaissent, aucun doute possible, cela se traduit par des maux de tête, des maux de ventre, la gorge qui se noue, la transpiration qui s’active. Les relations toxiques nous donnent le sentiment d’être dévalorisé, diminué, un sentiment d’incompétence voire de dégoût.

Alors que faire ? Il faut impérativement réagir car les discours toxiques infligent souvent des blessures plus profondes que certaines armes, ils minent notre être. Bien sur souvent les personnes qui en sont à l’origine peuvent se révéler charmantes par ailleurs, c’est pourquoi je parle de relation toxique et non de personne toxique car c’est l’interaction qui est dysfonctionnelle.

Alors voici quelques techniques qui pourront vous aider, vous apaiser.

L’expiration de la tension : elle vous aide à vous oxygéner, à relâcher les tensions pour retrouver l’équilibre homéostatique de l’organisme.

Inspirez par la bouche 2 secondes puis retenez votre souffle 3 secondes en pensant à une personne qui vous rend malade. Expirez de tout vos forces jusqu’à ce que vos poumons soient entièrement vides en continuant à penser à cette personne.Cessez ensuite de respirer 2 secondes puis reprenez 2 ou 3 cycles en vous remémorant les gestes et les paroles indélicates de cette personne. Enfin, inspirez à plein poumon et expirez normalement

Le recours à l’humour : répondre par le rire peut avoir un effet désarmant

Utilisez dans un premier temps la technique de l’expiration de la tension et au moment où vous retenez votre souffle, pensez à quelques de drôle, à une répartie qui vous fait rire. Peu importe, la pertinence, l’important est que cela fasse sens pour vous et soit amusant. Voici quelques réparties pour exemples : « Ta place serait à la cour…à la basse cour » ; « Pendant un moment, je ne t’ai pas reconnu et ce fut le moment le plus agréable de ma vie » ; « je ne sais pas ce que je ferai sans toi mais je voudrais bien essayer ».

Le miroir : obliger les personnes à observer leur comportement et à en percevoir les effets

User d’ une formule telle que « si tu nourris des griefs à mon égard ou des pensées négatives, garde les pour toi comme je garde pour moi, tous les griefs que j’ai à ton sujet »

Le fantasme : relâcher les nerfs en convoquant l’imagination et le rire

En situation d’agression verbale, mobilisez une image mentale qui montre votre interlocuteur en fâcheuse posture, ou affublé d’un accoutrement ridicule, ou émettant des sons animaliers. Cette technique est propre à vous aider à réagir positivement à des remarques acides.