Catégorie : Mon actualité

La littérature spécialisée en sciences sociales fait état d’une baisse significative des échanges informels lorsqu’un même espace géographique n’est plus partagé. Les règles de partage, de convialité et de vive-ensemble semblent en télétravail à long terme éclipsées par d’autres réalités : composer avec les outils collaboratifs et gérer les perturbations environnementales dans des lieux qui ne sont pas toujours adaptés.

Attention à ne pas nous laisser enfermés, piégés par ces nouvelles dispositions qui, certes, nous offrent une réduction drastique des temps de transports, un meilleur équilibre vie privée:vie professionnelle mais se traduisent aussi par une perte de sens, un manque de fluidité dans la transmission des informations, une forme d’individualisation du travail.

Or, le travail c’est l’entraide, c’est co-construire, c’est s’inspirer d’autrui, c’est laisser ses idées faire la courte échelle à celles des collègues, c’est créer collégialement, résoudre des problèmes mine de rien autour de la machine à café dans la joie, la bonne humeur et la spontanéité.

Attention à ne pas se laisser submerger par une vague déferlente de repli sur soi et oublier tous les rites porteurs de sens de la vie au bureau. Le télétravail est une disposition formidable dans nos vies surchargées d’activités, sachons en user mais pas en abuser.

Cultiver la douceur et se recentrer sur soi

En ces temps tourmentés où règne la division, les dissensions au sein des collectifs, des familles, au sein de la société, un retour à soi s’impose. Il ne s’agit nullement d’une posture égoïste, d’une attitude de fuite. Il s’agit d’une mesure de prudence et de sauvegarde de son intégrité mentale et physique.

Nourrir la colère, entretenir la peur, cultiver le ressentiment à l’égard de l’environnement et des évènements chaotiques qui se succèdent est néfaste pour la santé. Sachons accepter ces zones de turbulences et regarder la lumière qui brille à l’intérieur de nous-mêmes, jusque dans l’adversité.

Sachons nous souvenir que la lumière succède inéxorablement à l’ombre et tachons de nous projeter dans un futur radieux que nous pouvons construire dans nos têtes. Sachons exploiter le cycle de l’histoire pour nous rassérener sur le pouvoir de l’humanité à rebâtir inlassablement à partir des cendres. Savourons le moindre instant de douceur, de chaleur, de calme et faisons-le rayonner à l’intérieur de nous-même, pour amplifier le bonheur qu’il procure.

Retrouvons le plaisir des choses simples et naturel, loin du tumumulte et de la sophistication. Essayons de nous émanciper en conscience des concepts de plaisir « prêts à l’emploi » et employons à retrouver notre unité.

L’information sur la crise sanitaire nous plonge dans un chaos permanent, nous sommes ensevelis sous un magma de communications plus ou moins effrayantes, sidérantes, contradictoires. Que l’on adhère ou non à l’idée d’une manipulation, les dégâts sont les mêmes.

Travailler ou tout simplement vivre en préservant un semblant d’équilibre relève du tour de force. Les collectifs de travail s’effritent , les relations sociales s’appauvrissent, les liens familiaux se délitent, nous ne vivons plus les uns avec les autres mais les uns à côté des autres dans la peur du lendemain. Les individus sont isolés, en proie à la tristesse et parfois au désespoir.

Pourtant, reprendre la main en cette période de turbulences est à la portée de chacun. Il convient de surmonter sa peur, de la regarder en face. Surmonter sa peur suppose d’en analyser les ressorts, en évaluer les impacts et d’aller regarder les éléments qui viennent la nourrir. Quelles croyances cette peur vient-elle conforter ?

Surmonter sa peur, demande de mieux s’informer et de croiser les sources d’information, mais également de rechercher les débats contradictoires, de construire une autonomie intellectuelle en usant de son discernement et sa raison.

Surmonter sa peur requiert d’ accepter sa vulnérabilité et le droit à être aider par l’entourage ou si ce n’est pas suffisant par des professionnels.

Surmonter sa peur demande enfin d’être à l’écoute de son corps, de déceler les signaux qu’il ne faut pas laisser passer (fatigue indéracinable, perte d’appétit, de plaisir)

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Mon souhait le plus cher en intégrant le monde des accompagnants était de participer à l’édification d’une société plus humaine et plus respectueuse des diversités, d’un monde plus heureux et solidaire où tous sauraient trouver leur place, un monde où l’intelligence collective aurait ses droits, un monde de paix et d’unité. En devenant, accompagnante, je voulais ajouter ma pierre à l’édifice.

La crise sanitaire a mis à mal nos rêves, elle a semé le chaos dans les esprits et plongé nombre d’entre nous dans le désarroi et la précarité financière. Outre des impacts sur notre santé physique, cette crise a des impacts sur nos rêves, nos projets, nos espoirs. Elle alimente les pensées morbides, parfois les délires paranoïaques, elle accroit la fatigue émotionnelle.

Le monde de l’accompagnement ne saurait rester insensible à cette batterie de répercussions psychologiques, il ne saurait non plus ignorer ceux dont les moyens financiers ont fondu comme neige au soleil.

Je mets en place des tarifs solidaires dès 20 euros pour des accompagnements spécifiques, emprunts de douceur et d’humanité pour permettre aux plus fragiles et aux précaires de bénéficier d’un accompagnement à distance. Je les conçois comme une béquille pour continuer à avancer en surmontant ses peurs et prendre sa place dans le monde de demain.

Depuis Septembre 2020, j’interviens aussi bénévolement auprès d’une association d’aide au retour a l’emploi pour m’engager vers davantage de solidarité.

Je reste convaincue que nous avons tous un rôle à jouer.

Les quatre accords toltèques est une pépite à savourer qui fournit des clés pour se reconnecter à son pouvoir personnel et retrouver la paix de l’esprit.

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S’engager sur la voie de la tolérance, du non jugement et du pardon.

Transformer ses émotions.

Apprendre à écouter.

Apporter de la conscience dans ses actes et dans ses décisions.

Changer la structure de ses représentations et se construire son propre paradis.

Don Miguel Ruiz distille avec simplicité la sagesse toltèque.

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Nous sommes sollicités de toute part par les médias, nous devons combattre sur plusieurs fronts et sommes emportés comme malgré nous dans une agitation mentale. Que faire ? Qui croire ? Quel chemin emprunter ? Quel parti prendre ? A quelle fin ? L’affolement, le désarroi prennent le pas sur les autres composantes de notre vie.

Alors comment recouvrer un peu de sérénité ? comment se reconnecter à sa dimension transcendantale ?

Comment redevenir libre intérieurement ? comment se réconcilier avec l’univers en cette période de chaos ?

Tout d’abord, il nous appartient de prendre de la distance vis à vis des évènements et d’éloigner temporairement nos pensées des drames qui se jouent sous nos yeux.

Il convient de ne pas sombrer dans la haine ni laisser la colère nous détruire.

Ensuite, on peut s’interroger sur le sens profond que l’on souhaite donner à son existence et se relier à sa boussole intérieure, se laisser guider par ses intuitions.

Écouter plus que tout ses murmures intérieurs.

Enfin, il est important de se reconnecter à soi au travers du corps, des sensations que procurent la communion avec la nature. On peut également renouer avec la prière ou la méditation en pleine conscience et développer une forme de verticalité .

La réalité est contenue dans cette nouvelle connaissance de soi, avec une forme de plénitude à la clé.

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« Ce n’est pas ma faute » ; « c’est à cause de lui, d’elle… » ; « Je ne pouvais pas faire autrement » …

Combien de fois n’avons-nous pas prononcé de telles paroles ? combien de fois n’avons-nous pas botté en touche et n’avons-nous pas fui devant nos responsabilités ?

Anodines, ces phrases dénotent pourtant d’une posture où la responsabilité de la situation se déporte sur l’autre. Elles nous enferment dans un cercle vicieux, elles figent la situation et inhibent nos capacités à examiner les problèmes sous un autre angle.

Plus je pense que c’est l’autre qui a prise sur moi, plus je considère que le monde est responsable de ce qui m’arrive, moins je peux être acteur et responsable de ma vie.

Alors à l’image du prince Siddhârta Gautama est né 6 siècles av JC, en Inde dans une société de castes très hiérarchisée, osons aller découvrir ce qui se passe derrière le voile des représentations, brisons nos chaînes aussi dorées soient-elles ? Osons-nous confronter à nous-mêmes, à nos doutes, à nos limites mais soyons plus libres dans nos têtes !

Dans la situation troublée et inconfortable que nous vivons où le lien social se délite parfois sous l’effet des contraintes sanitaires, il est grand temps de cristalliser votre énergie sur des éléments positifs. Faites des projets pour l’année prochaine, jetez des ponts vers un futur plus lumineux ! Et si vous donniez votre chance au Clown qui sommeille en vous ? Si vous exploriez son imaginaire ? Apprivoisez votre clown et laissez-le pétiller ! Venez vivre une belle aventure personnelle mais aussi collective et artistique ! La pratique du clown sera une occasion de libérer votre potentiel créatif,  de cultiver votre présence, de rencontrer des facettes inconnues de vous-même et des autres, de vous relier à votre corps et à toutes vos émotions.

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Le besoin de changement s’amorce souvent dans la crise ( chômage, placardisation, maladie, difficultés familiales, professionnelles, rupture, deuil, perte de repère) . C’est alors un temps de rupture , une brèche qui s’ouvre sur une remise en question, c’est une porte vers le renouveau

La crise accroît notre sensibilité. Nos blessures, nos fractures refont surface . Elles sont les stigmates de notre histoire de vie et de notre construction psychique. Ce qui pouvait être contenu, maintenu à distance par une existence bien organisée, revient en force nous hanter. Nos peurs nous assaillent et nous obligent à revisiter nos racines, à remonter le fil de notre histoire.

Dans les pas de qui nous sommes nous placés ? A qui avons nous tenté coute que coute d’être loyal ? Quel scénario avons nous rejoué ?

En prenant conscience de nos modèles, de nos loyautés ou des missions familiales dont nous sommes investis, nous pouvons tenter de nous en détacher et de nous tourner vers nos désirs propres, nos aspirations personnelles.

Une nouvelle porte s’ouvre alors sur l’imprévu

La crise tel un aiguillon nous contraint à prendre des décisions et à regarder l’environnement avec un regard neuf .

Elle oblige à accoucher de la nouveauté.

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Las d’une ambiance au travail plombée par la guerre des égos, mal à l’aise dans le tissu professionnel qu’est devenu le votre, stressés et nauséeux quand arrive le lundi matin…

Envisagez votre avenir sous un autre angle et redéfinissiez les contours d’une activité qui vous plaise !!

Réenchantez votre vie, retrouvez le plaisir de vous levez, les palpitations de la créativité, la satisfaction du travail accompli et trouvez les clés pour y parvenir !!

Vous détenez toutes les ressources . Vous êtes uniques, soyez-en convaincus. Vos talents inconnus ne demandent qu’à être explorés et utilisés.

Même si le contexte économique est compliqué, tendu, les discours pessimistes, rien n’est jamais écrit à l’avance et tout peut advenir. Votre disposition d’esprit sera un levier comme elle pourra être un frein.

Qu’il s’agisse de larguer les amarres et construire d’un bout à l’autre un projet qui vous ressemble ou qu’il s’agisse simplement d’ obtenir une meilleure qualité de vie en réorganisant votre activité ou en changeant d’affectation, des opportunités s’offrent à vous.

De nombreux professionnels (entreprises ou associations) sont là pour vous y aider avec des méthodes d’accompagnement innovantes et des mises en situation. Ils vous permettront de tenir le cap et de surmonter les difficultés. Ils vous aideront à identifier vos aspirations, à cibler les domaines d’activités qui vous correspondent le mieux. Ils vous permettront de jeter un pont solide vers le futur.

Mais surtout, donnez-vous le temps de la réflexion, pas de précipitation et n’hésitez pas à prendre contact avec moi pour en discuter.