« Ce n’est pas ma faute » ; « c’est à cause de lui, d’elle… » ; « Je ne pouvais pas faire autrement » …
Combien de fois n’avons-nous pas prononcé de telles paroles ? combien de fois n’avons-nous pas botté en touche et n’avons-nous pas fui devant nos responsabilités ?
Anodines, ces phrases dénotent pourtant d’une posture où la responsabilité de la situation se déporte sur l’autre. Elles nous enferment dans un cercle vicieux, elles figent la situation et inhibent nos capacités à examiner les problèmes sous un autre angle.
Plus je pense que c’est l’autre qui a prise sur moi, plus je considère que le monde est responsable de ce qui m’arrive, moins je peux être acteur et responsable de ma vie.
Alors à l’image du prince Siddhârta Gautama est né 6 siècles av JC, en Inde dans une société de castes très hiérarchisée, osons aller découvrir ce qui se passe derrière le voile des représentations, brisons nos chaînes aussi dorées soient-elles ? Osons-nous confronter à nous-mêmes, à nos doutes, à nos limites mais soyons plus libres dans nos têtes !
